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le blog de manu

26 avril 2014

Chapitre 1

 

Tout a commencer, cet été ! il faisait beau, chaud, on était bien, tout ce passait merveilleusement bien… tout ce passait trop merveilleusement bien ! On aurait dû ce douter que c’était qu’une façade ; un sourire pour cacher des larmes qui abondaient, du maquillage pour camoufler une nuit blanche, un coup de roll-on pour supprimer des cernes.
On ne c’est pas tout de suite rendu compte qu’ils étaient arrivés, on ne les as pas entendus, ils étaient là, pas depuis longtemps, juste assez pour nous surveiller, pour connaître nos habitudes, nos allées et venues…

 

Je lézardais au soleil avec mes écouteurs sur les oreilles, ma mère à coté en train de barboter dans la piscine avec mon frère de sept ans, mon père lui s’occupait du jardin,potager.

« - Sarah ! Va me chercher une bierre s’il te plait, me demanda mon père en s ‘essuyant le front du revers de sa manche.
- J’y vais !
Je la lui ramenait et retournais à mon transat, ma mère m’interpella et me dit :
- Sarah tu veux pas aller chercher des bouteilles d’eau, s’il te plait, il fait une chaleur… étoufante !
- Rhôôô ! Tu peux pas y aller !
- Non ! Je m’occupe de ton frère, et moi aussi j’aimerais aussi me détendre sur un transat, un verre de limonade à la main !
- Bon ok ! T’as gagner !
- Merci ma chérie ! Emmènes ton frère avec toi s’il te plait il va prendre l’air un peu !
- Maman… il est déjà dehors !
- Oui mais quand même !
- Bon allez viens Enzo !
- J’arrive.
- Faites attention sur la route ! »
Ma mère et ses règles de sécurité, elle me les rappelait à chaque fois que je sortais quelques part ! Je la comprend mais bon…

Je me dirigeais vers le garage où était rangé mon vélo, et je sortis la trotinette de mon petit frère ; nous habitions dans une longère, en campagne, alors la boulangerie c’est pas tout près !
Nous partîmes vers le bourg, moi en tête et Enzo qui trotinait derrière. Nous arrivâmes à la supérette dix minutes après, lorsque qu’un éspèce de gros nuage noir obstrua le ciel. J’entrais dans le magasin, mon fère à la main. Je me dirigeais vers le rayon « boisson » et pris un gros pack d’eau, j’allais à la caisse, et payais, tout en regardant ce nuage devenir de plus en plus imposant. La caissière, une vieille femme toute ridée que ma mère connaissait comme étant la doyenne de cette ville, cela faisait 150 ans que sa famille vivait dans ce petit bourg, et cette vieille femme n’avait, a vu d’œil pas plus de 80 ans, elle parraissait soucieuse, comme si quelque chose se trâmait derrière, en coulisse. Lorsque nous sommes sortis du magasin, le nuage avait prit une telle ampleur que le soleil en était camouflé ; la chaleur avait fait place à un froid glacial,avec mon short et mes ballerinnes, je dénotais légèrement avec la météo ambiante.
Je repris mon vélo et nous retournâmes à la maison.
On passant dans le bourg, mon frère et moi,on voyait des personnes d’un certaines âges, massés devant leur portes, des renards aux aguets, qui guettent le moment fatidique pour sortir de leur cachette, mais là ce n’était pas de la curiosité malsaine ou même des surveillances, non, c’était plutôt de la crainte, crainte de l’inconnu. Pas dirigée contre nous, mais contre ce nuage, comme si il le connaissait, et comme si il l’avait déjà vu,avant…

Je surveillait ce nuage, tandis qu’une épaisse fumée noir venant de la campagne m’intrigua, cela ne m’alarma pas ; les feux de bois dans les champs sont assez fréquent, surtout à cette pèriode de l’année….

Lorsque nous descendîmes la grande route avant de voir apparaître la maison, l’odeur se faisait de plus en plus âcre, et l’air y était de plus en plus irréspirable. Je stoppais mon frère deux ou trois mètres avant le virage, car on y voyait pas à deux mètres, et l’angoisse m’avait pris ! Ce n’était pas normal que à 16h le samedi une si intense fumée est pris juste à coté de ma maison, je m’aventurais seule et me dirigeais vers le centre de la fumée, là où le feu avait sûrment pris… Je ne fis pas deux pas que je revins en arrière tellement la chaleur y était insoutenable, et l’odeur…. qui vous attaque les poumons, qui vous brûlent l’estomac, qui vous ronge l’intèrieur !

Je retournais à mon frère, qui m ‘avait attendu un peu plus haut . Ensemble nous courrâmes au bourg alertés quelqu’un que un incendit c’était déclaré dans la campagne, nous rencontrâmes un vieux monsieur, qui nous indiqua où trouver du secours, ce vieillard, semblait soucieux, marmonnait dans ses moustaches : « ça recommence… je m’en doutais, ça recommence… » . Ses paroles m’intriguaient, et je me retins de lui demander qu’est ce qui recommençait, et de quoi se doutait-il…

Nous alertâmes les pompiers, qui ne furent pas plus soucieux que ça, cet homme, qui commençait à tourner fou : il faisait des rondes, marmonnait, regardait le ciel, s’inquiètait, regardait partout, comme si quelque chose le guettait…
Les pompiers firent retentir leurs sirènes et s’engagèrent sur la route, quand ce vieux monsieur se mis en travers de leur chemin, en plein milieu de la route, il fis des grands gestes et leur dit de descendre et de l’écouter attentivement !

Il nous pris à part, où il jugea propice de parler, il nous dit :

« - Ca recommence… Les mêmes circonstances, les mêmes conditions, les mêmes signes, et pas dessus tout ; ce nuage… ! Il est toujours présent, toujours aussi envahissant, comme l’annconce de notre mort prochaine, ou de leur venue…
Il nous regarda et continua :
-Il ya maintenant ; 110 ans, des guerriers venus d’ailleurs ont attaqué la terre et le humains, ils sont restés pendant 20 ans sur la terre. Ils ne sont pas arrivés tout de suite ; leur première apparition ; un beau samedi d’été chaud, un nuage avait camouflé ce merveilleux soleil qui brillait depuis un mois. Un gros nuage, très dense, très etendu…Il avait rendu l’air froid et gelé, et pendant ces 20 ans, il est resté là, dans le ciel, plus de chaleur, plus de fleur, des blocs de glace un peu partout, de nombreuses personnes sont mortes de cette dispariton de lumière soudaine, les plus robustes, on quand a elles pu résiter à ce choque météorologique… Puis un incendit, se déclare inopinément dans la campagne, deuzième annonce…un incendit ravageur, qui se déclarent généralement dans une maison isolée…mais ce que je ne comprends pas c’est que cet incendit se soit déclaré sur votre maison, il y a 110, quand ils étaient venus, ces guerriers étaient apparus pour récupérer leur bien,et avaient donc incendier la maison, d’un de leur alliés qui leur avait faussé compagnie, et qui avait céssé de les aider dans leur suplantation de la terre, ils avaient brûlés, ravagés ça maison, et on donc réussi à exterminés le traître, mais ils ne se sont pas arrêter là, ils ont chercher à continuer à conquérir la terre et dominer les humains.Mais pourquoi avoir incendier votre maison ?
La question s’adressait à moi mais je ne pouvait ou ne voulait pas comprendre…
-Euhhh, je ne sais pas… pourquoi à votre avis ?
-Pour moi, une seule expliquation est logique, votre père à eu affaires avec eux, et il a dû les abandonnés en pleins milieux de leur réussite…
-Et pourquoi pas ma mère ? Et puis même, c’est irrationel, mes parents n’auraient jamais eu affaire avec de pareils escroc !
-Non ! Ces guerriers n’accepterait quand même pas l’aide d’une femme, c’est complètement contre-nature ! Quand à ce que vous venez d’avancer, ne soyez pas si catégorique…
Il avait laissé sa phrase en suspend et avait laissé plané le doute.

- Pourquoi n’accepterait-ils pas l’aide d’une femme ? Et pourquoi ne devrais-je pas être aussi catégorique quant-au fais que mon père n’as rien à voir avec eux ?
- Je viens de vous le dire : c’est contre-nature ! Sur leur planète, les femmes sont tuées à la naissance, là-bas une femme est signe de malchance sur la famille. Vous ne devriez pas être aussi catégorique car moi aussi je l’étais avant de découvir la vérité
- Mais…comment font-ils pour avoir des enfants ? La maison … ? La maison qui a pris feu… c’était la votre ?
- Et bien…Là-bas , les « hommes » naissent ; soit avec une moitié homme une moitié femme, soit complètement homme, ou complètement femme : Les hommes a proprement parlé sont considérés comme viril, attirant et surtout puissant, c’est généralement un homme entier à la tête du pouvoir. Les femmes complètent ; elles sont tuées, comme un signe de malchance et de démons dans la famille ! Et les mi-hommes ,mi-femmes sont quant-à eux considérés comme des esclaves, des moins que rien, mais on ne les tues pas car ils sont tous de même utile dans la société, en tant que homme pour servir leurs congénères accomplis et en tant que femme, pour peuplé la planète…
- Mais…Comment savez vous tout cela ?
- J’y étais il y a 110 ans, je faisais partis des futurs militaires de cette opération. Nous avons dû assister à des cours ; sur la civilisation de notre envahisseur, sur leur mode de vie, de leur nourriture et tout ce genre de choses…
- Alors des gens s’y connaissait sur ce sujet, ou ce n’était que de simple investigations et de simples hypothèses ?
- Non, plusieurs de nos ennemies se sont ralliés à notre cause pour défendre la planète, et nous ont transmis leur savoir, et leur connaissances !
- Ils ont trahis les leurs, ces « sauveurs » ont donné leur vie pour sauver la votre !
- Oui, mais elles n’auront pas servis, vu que ces études, ces cours ne nous ont été d’aucune utilitée, car les envahisseurs sont partis avant que nous n’ayons eu l’occasion de nous envoler vers leur planète…
Ses paroles ont été interrompus par une série d’explosion venant de la campagne.

 

 

 

 

 

 

 

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